L’oiseau de Minerve
La garde du sabre ne peut être qu’un triangle, en Aikido nous disons sankaku ou hanmi. Ce triangle est la possibilité et l’origine du mouvement.
La garde du sabre ne peut être qu’un triangle, en Aikido nous disons sankaku ou hanmi. Ce triangle est la possibilité et l’origine du mouvement.
Qu’on sache bien tout d’abord que dans l’art du sabre long on ne marche jamais droit et sinistre, comme on fait tristement quand on est sobre.
La voie est unique, il est donc normal qu’on y retrouve tous ceux qui l’ont parcourue et qui l’ont maîtrisée, Miyamoto Musashi et Morihei Ueshiba.
Cet article est une fiction, une intrusion en imagination dans la conversation de Léo Tamaki et de Guillaume Erard lors d’une interview menée par ce dernier il y a quelques années déjà, en 2015.
Dans les arts martiaux japonais, kamae c’est la garde, pour dire les choses sans rentrer dans les détails. En Aikido, kamae c’est donc hanmi.
C’est très souvent dans tai no henka qu’on voit la main saisie effectuer une spirale dans le plan vertical. Maître Saito expliquait qu’il ne faut pas pratiquer ainsi.
Dans la toute première partie de tai no henka, la rotation de la hanche arrière vers l’arrière déclenche la rotation du pied avant, c’est ainsi.