![KI MUSUBI NO TACHI (4) Temps 1 à 4](https://www.aikidotakemusu.org/content/images/2019/05/ADLAM-17.jpg)
KI MUSUBI NO TACHI (4) Temps 1 à 4
On peut désormais comprendre la logique de ce mouvement éminemment martial, dès lors qu’il est ainsi exécuté en rotation.
On peut désormais comprendre la logique de ce mouvement éminemment martial, dès lors qu’il est ainsi exécuté en rotation.
Quand on coupe en rotation, il est possible de terminer un gyaku yokomen à la manière d’un tsuki, et avec le sentiment du tsuki.
On s’aperçoit alors que les deux premiers temps du kumitachi ne frappent pas deux fois le même adversaire mais coupent deux adversaires différents.
Le carré est la base du cercle. Le mouvement d’Aikido ne peut s’inscrire dans un cercle que s’il repose sur le carré.
Tori arrête son mouvement après avoir effectué sa rotation et déclenche sa coupe finale à contre-sens de la spirale initiale, en inversant les hanches.
Shi ho fait en réalité référence aux quatre piliers de la technique : quatre pas sont en effet nécessaires à la construction du mouvement correct.
Le travail linéaire est nécessaire, mais c’est un artifice, c’est la réduction de mouvements conçus pour se déployer dans un cercle.