
Tai no sen
Tai no sen se traduit par une pratique jutai, union avec la dynamique du mouvement adverse, se conformant à l’écoulement de son énergie (ki no nagare).
Shisei, kokyu, kamae, maai, kaiten, tenchi, shiho, juji, koshi, kakuto… les principes étudiés dans le cadre de la méthode sont les clefs de la progression.
Tai no sen se traduit par une pratique jutai, union avec la dynamique du mouvement adverse, se conformant à l’écoulement de son énergie (ki no nagare).
Ce n’est pas le temps d’irimi qui déséquilibre uke, c’est le temps de tenkan. Ce deuxième temps est indispensable, sans lui il manque un pas.
Par le déplacement, le corps pénètre la sphère d’uke tout en détruisant son équilibre, la chute ou le contrôle suivent.
La rotation est en effet l’énergie du mouvement d’Aikido, et cette énergie se développe toujours selon deux sens contraires.
La première chose à acquérir en Aikido, avant la mobilité, est la stabilité des hanches et s'il n’est préparé par kotai, ki no nagare est un leurre.
Si on ne comprend pas le suburi on ne peut pas comprendre le kumitachi, si on ne comprend pas le kumitachi on ne peut pas comprendre l’Aikido.